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CE JOUR LA
Ce jour lale 08 MAI 1945
FIN DE LA SECONDE
GUERRE MONDIALE
EN EUROPE
Au lendemain de la capitulation
sans condition de l'Allemagne,
les chefs d'états
et de gouvernements alliés,
annoncent simultanément
sur les radios la cessation officielle
des hostilités en Europe.
Mais, la fin véritable
de la Seconde Guerre mondiale
n’interviendra que
le 2 septembre suivant,
avec la capitulation du Japon
après les explosions atomiques
de HIROSHIMA
et NAGASAKI,
les 6 et 9 août.
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CE jour la
le 08 MAI 1902
ERUPTION
SAUVAGE
La montagne Pelée,
volcan considéré comme endormi,
domine la ville la plus peuplée
des Antilles françaises.
Le 25 avril,
une légère fumée s’échappe de son sommet.
Le 8 mai, à l’aube,
une coulée de lave et de cendres
se répand en direction de la ville.
En deux minutes,.
toutes les maisons sont détruites.
30.000 à 40.000 habitants trouvent la mort...
Seul survivant de ce cauchemar,
un prisonnier enfermé
dans un cachot souterrain de la prison.
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Commentaires
bonjour meldix
il faut se souvenir de cette journée qui commemore cette terrible guerre ! @+
Quand j'étais enfant les écoles nous demandaient de venir defiler le 11 Novembre et le 8 Mai.....
Bonne journée bises Jacqueline
Hello Joel, le soleil luit et les nuages ne sont pas encore en force
mais ils sont prévus assez rapidement. > bisousHo! la! la! C'est affreux, et je suis persuadé que ce prisonnier enfermé dans ce cachot, ne s'en ait pas sorti sans séquelle ! Mais je pense qu'il doit être mort. Il y a trop de malheur Meldix, sur cette terre, en fait, c'est pour cette raison que je me réfugie dans mes passions, ce que j'aime; sans quoi, je ne pourrais pas supporter, et cela, depuis l'âge de 14 ans un peu près, ou j'aimais déjà l'Art à cette époque !
Je t'envoie des bisous de Lyon, sans oublier ton épouse. Amitié
Lucie-y.
Merci pour ce clin d'oeil à mon île---------
Repose toi bien Meldix-------
Te fais de gros bisous----------
Bonjour Joël
Il faut croire que le nombre de mort importe peu aux gouvernements vu le nombre de guerre encore effective dans le monde....
Tu me fais peur avec le volcan montagne pelée car nous aussi ici nous avons un volcan endormi (pas la Fournaise) mais le Piton des Neiges !!!!!!! J’espère que tu as passé une belle journée et merci pour cet article, quand on pense qu’hélas les guerres ne sont pas finies quand on voit ce qui se passe dans le monde çà fait froid dans le dos. Je te souhaite un bon repos et prends bien soin de toi. Gros bisous
un bel hommage à ces personnes
France /Martinique
douce soirée
mille excuses pour ce passage tardif
j'ai des soucis d'ordi
ti bo jodi a (bisous du jour)
•-~•*'Ś Ő Ń Ŷ Á'*•~-•
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Bonjour ... se matin toujours la méme météo :(( ...ça commence a me lasser ....
alors je vais essayer d'être possitive, un brin d'espoir dans ce monde qui dérive
gros bisous .....
Hymne au soleil
Roi du monde et du jour, guerrier aux cheveux d'or,
Quelle main, te couvrant d'une armure enflammée,
Abandonna l'espace à ton rapide essor,
Et traça dans l'azur ta route accoutumée ?
Nul astre à tes côtés ne lève un front rival ;
Les filles de la nuit à ton éclat pâlissent ;
La lune devant toi fuit d'un pas inégal,
Et ses rayons douteux dans les flots s'engloutissent.
Sous les coups réunis de l'âge et des autans
Tombe du haut sapin la tête échevelée ;
Le mont même, le mont, assailli par le temps,
Du poids de ses débris écrase la vallée ;
Mais les siècles jaloux épargnent ta beauté :
Un printemps éternel embellit ta jeunesse,
Tu t'empares des cieux en monarque indompté,
Et les voeux de l'amour t'accompagnent sans cesse.
Quand la tempête éclate et rugit dans les airs,
Quand les vents font rouler, au milieu des éclairs,
Le char retentissant qui porte le tonnerre,
Tu parais, tu souris, et consoles la terre.
Hélas ! depuis longtemps tes rayons glorieux
Ne viennent plus frapper ma débile paupière !
Je ne te verrai plus, soit que, dans ta carrière,
Tu verses sur la plaine un océan de feux,
Soit que, vers l'occident, le cortège des ombres
Accompagne tes pas, ou que les vagues sombres
T'enferment dans le sein d'une humide prison !
Mais, peut-être, ô soleil, tu n'as qu'une saison ;
Peut-être, succombant sous le fardeau des âges,
Un jour tu subiras notre commun destin ;
Tu seras insensible à la voix du matin,
Et tu t'endormiras au milieu des nuages.