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    LES PENSEES D'UN REVEUR

     

     

     

     

     

     

     

     UNE FILLE, DES NERFS    

     




     

    Oh ! Toi que j’aime, oui que j’aime.

    Je prierais pour qu’il en soit de même.

    Il n’y a qu’une seule fille en mon coeur

    C’est pour cela que j’évite les heurts. 

     

    Je n’attends qu’un signe que toi.

    Pour venir me jeter a tes pieds.

    Au plus loin, mes pas iront vers toi.

    Quand l’on aime, il n’y a qu’une idée.

     

    Les nerfs ne tiendront pas toujours,

    La résistance, n’est pas comme l’amour.

    Si jamais, par malheur ils craquaient,

    Je ne sais ce qu’il m’arriverait.

     

    Que le chagrin ne pense au partage

    Il faudrait éponger mes yeux en pleurs.

    Par ses larmes qui coulent sur mon visage,

    Et cacher cette face d’une telle pâleur.  

     

    Mieux vaudrait aller ce coucher.

    Na pas pouvoir  avaler une bouchée.

    Je suis trop dépendant aux cigarettes,

    Je bois sans raisons dans les guinguettes.

     

    Si jamais cette histoire voyait le jour.

    Je partirais, confiant vers cet amour.

    Adieu a vous enfumées et gros cigares.

    Fini, chaque soir la tournée des bars.


    Faut il qu'a se point être fou a lier ?

    Pour se croire le fidèle cavalier.

    Se prendre pour un moins que rien,

    Mon corps se dérobe, je ne suis pas bien.

     

    Je ne peux errer comme un vagabond,

    Traîner de long en large sur ce pont.

    Piétiner, puis repartir jusqu'à l’espoir,

    D’un regard qui se croise pour y croire.

     

    Que l’on marche l’un vers l’autre,

    La lumière filtrante est notre.

    Cœur a cœur, main dans la main.

    Le futur doit commencer demain.

     

    Une lourde et longue tache nous attends.

    Prenons chacun nos responsabilités.

    Ne perdons pas une minute de notre temps.

    Ecartons, balayons nos personnalités.

    Les pensées d’un rêveur

    N° 091  écrit le 08-10-1966 par JGRC  

     Sous le pseudonyme de Christian Gilles
     A Saint Jean les deux jumeaux  77660 


     


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    LES PENSEES D'UN REVEUR

     

     

     

    TROP TARD 

     

     

     

    Je me souviendrais toujours,

    Du bonheur de notre amour.

    Mais depuis je me suis perdu,

    Dans l’espoir de l’attendue.

     

    Tu as jouée avec tes principes,

    Pour ne pas créer notre gîte.

    Malgré tout cela, je t’aime.

    Du plus profond de moi même.

     

    Je rumine dans ma pauvre tête.

    Qu’elle est éloignée, cette fête.

    A la sortie de mon adolescence

    Et croire, à ce mot, confiance.

     

    Perdre ainsi toutes mes chances.

    Vraiment, une totale insouciance

    Que le temps estompe chaque jour,

    Pour l’avenir d’un grand amour. 

     

     

    Les pensées d’un rêveur

    N° 082  écrit le 27-05-1966 par JGRC 
     Sous le pseudonyme de Christian Gilles
     A Saint Jean les deux jumeaux  77660
    Modifié le 05-08-2004 a La  Gacilly  56200

     


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    LES PENSEES D'UN REVEUR    18/02/2014

     

     

     

     

     
     

     

     

     

     

     

     




    VOUS LES FILLES

     

     


    Vous les filles, toutes les mêmes,

    Il suffit de vous dire, je t’aime.
    Pour le croire sans aucune façons,
    Méfiez vous de votre premier garçon. 


    Il faut jouer avec d’autres manières.
    Nous aussi, nous avons des problèmes.
    Rien ne sert de critiquer la bière,
    Humilité et calme, garder votre flegme. 


    Pas besoin d’environnement humide,
    Vous n’êtes pas des plus timides.
    Oublier donc les vieux principes,
    Nous ne sommes pas des sales types. 


    Vous croyez ce que l’on vous dit,
    Mais les étoiles n’ont rien prédit.
    Alors, cheveux courts cheveux longs,
    Suivez le chemin ou nous allons. 
     

     

     

     

     



    Les pensées d’un rêveur
    N° 080 écrit le 15-05-1966    par  JGRC 
     Sous le pseudonyme de Christian Gilles
     A  Saint Jean les deux jumeaux  77660
    modifié le 13-08-2004 a La  Gacilly  56200



     

     

     

     

     


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    Les secrets d’amour sont très lourds ...

    ELLE, TOUJOURS ELLE

     

    C’est la fin des beaux jours,

    Ainsi que de notre amour.

    Je ne sais où est mon avenir,

    Loin de nos fabuleux souvenirs.

     

    Elle ne veut plus sortir,

    Quand va-t-elle partir ?

    Ne serait elle pas décider,

    Impossible de l’aborder.

     

    Dites lui que je l’aime.

     Je ne suis plus le même.

    Qu’elle vienne a sept heures.

     Comme pendant notre bonheur.

     

    Elle répond, par le silence,

    Finie notre bonne entente.

    Elle est d’une méfiance,

    Et d’une grande indifférence.

    Les pensées d’un rêveur

    N ° 070  écrit le 05-03-1966 par JGRC

     Sous le pseudonyme de Christian Gilles

     A Saint Jean les deux jumeaux  77660

    Modifié le 26-11-2008 a LA  GACILLY  56200







     


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  • LES PENSEES D'UN REVEUR  01/03/2013

     

      JE NE PEUX FAIRE  

      MARCHE ARRIERE  

      

      

    Je me souviens du premier regard,

    Je pensais ne pas être en retard.

    Combien de sourire, avons-nous croisés ?

    Avant qu’un obstacle ne vienne tout brisé.

     

    Un mal me pris, la honte de la peur.

    De ne pouvoir aimer de tout coeur.

    Le jour ou tu as refusé mon invitation.

    Depuis je te relance, tu es ma tentation.

     

    Le temps des filles sérieuses est rare,

    Cela me rends du genre bizarre.

    Tu me trouves étrange et amer.

    Malgré moi, je ne me sens pas fière.

     

    Restes comme tu es, c’est mon souhait.

    Toi l’égérie qui me fascine et me plait.

    Ma tête chauffe en ne pensant qu’as toi.

    La tienne est des plus froide, devant moi.

     

     

    Les pensées d’un rêveur

    N° 088  écrit le 08-10-1966  par   JGRC   
     Sous le pseudonyme de Christian Gilles   
      A  Saint Jean les deux jumeaux 77660   

     


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  • LES PENSEES D'UN REVEUR

     

     

     

     

    DEUX FOIS, MAIS PAS TROIS

     

      

      

    Il n’est jamais trop tard,

    Je nr suis pas un bâtard.

    Je ne peux cacher mon amour,

    Tout aux longs des jours.

     

    Laisse moi, jouer ma chance,

    Avant de partir en décadence.

    Je ne dors point, dans mes nuits,

    Ce n’est que film de mes ennuis.

     

    Pitié pour mon espoir d’amour,

    Je ne vois que noir dès le jour.

    Excuse mon obstination, pardonne.

    Je ne vie, pense et aime ta personne.

     

    Même s’il faut pour cela mal finir.

    Rien ne vous autorise à me retenir,

    Le destin me guidera s’il n’y a amour,

    La tragédie, vers l’au delà, humour.


    Jour ou nuit, je vois que ton effigie.

    Cela n’a rien d’un spectacle de magie,

    Bien moins de vouloir jouer le fanfaron.

    En moi, rien ne tourne vraiment rond.  

     

    Pour qu’elles raisons, sortir le soir ?

    Je ne recherche que la solitude.

    Tout cela a fin de pouvoir y croire.

    A moi de prendre la bonne attitude.

     


    Pourquoi te remettre en évidence ?

    Tu ne fais que relancer la balance.

    L’adrénaline remonte en moi ;

    Des pensées folles, convergent vers moi.


    Ensemble nous avons découvert l’amour,

    Qui devait, devait durer pour toujours.

    Mais la vie a deux, c’est autre chose.

    Il ne suffit pas de jouer de la prose.



    Tu as réussi a réveillé mon obstination.

    Plus grande est devenue ma tentation.

    Mais je me retiens de te dire je t’aime.

    Je ne sais comment aborder le problème.

     

    Je suis avec la peur, ventre compressé.

    Je me dis attend, ne sois pas si pressé.

    Le présent s’apprécie que s’il est mure.

    Patience, attendons pour qu’il dure.

     

    Les pensées d’un rêveur

    N° 092  écrit le 08-10-1966 par JGRC

     Sous le pseudonyme de Christian Gilles

     A Saint Jean les deux jumeaux  77660

    LES PENSEES D'UN REVEUR


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    •    REDIFFUSION  OVER - BLOG 

     

      DU  06  AOUT  2010 

     

     

    AU FIL DES SAISONS

     

     

     

    RESTONS DANS CETTE BELLE PERIODE

    DES JOURS LES PLUS LONGS

    OÙ LES HABITANTS PARTENT EN EXODE

    LE SOLEIL AUX MILLE RAYONS

     

     

    PUIS LES FEUILLES MORTES

    QUE LE SOUFLE DU  VENT EXPORTE

    LE TEMPS DES VENDANGES

    SOUS UN SOLEIL ORANGE

     

     

    PUIS LES PREMIERS FRIMAS

    LA COUVERTURE SUR LE DRAP

    PREMIERE TOMBEE DE NEIGE

    LE VERGLAS ET SES PIEGES

     

     

    ET LE CYCLE SE TERMINE

    AVEC LA ROSEE DU PRINTEMPS

    PLUIE EN AVERSE QUI LAMINE

    C'EST LA VIE DES SAISONS SUR UN AN

     

     

     

     

      Les pensées d’un rêveur.

    N°170 écrit le 16 Juillet 2010

    Sous le Pseudonyme de Christian Gilles

    Par J.G.R.C à LA  GACILLY  56200

      

     

    Pour le blog de PROSE DE MARIE

     


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