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Par 56 J-G-R-C 77 le 19 Février 2015 à 01:48
UNE FILLE, DES NERFS
Oh ! Toi que j’aime, oui que j’aime.
Je prierais pour qu’il en soit de même.
Il n’y a qu’une seule fille en mon coeur
C’est pour cela que j’évite les heurts.
Je n’attends qu’un signe que toi.
Pour venir me jeter a tes pieds.
Au plus loin, mes pas iront vers toi.
Quand l’on aime, il n’y a qu’une idée.
Les nerfs ne tiendront pas toujours,
La résistance, n’est pas comme l’amour.
Si jamais, par malheur ils craquaient,
Je ne sais ce qu’il m’arriverait.
Que le chagrin ne pense au partage
Il faudrait éponger mes yeux en pleurs.
Par ses larmes qui coulent sur mon visage,
Et cacher cette face d’une telle pâleur.
Mieux vaudrait aller ce coucher.
Na pas pouvoir avaler une bouchée.
Je suis trop dépendant aux cigarettes,
Je bois sans raisons dans les guinguettes.
Si jamais cette histoire voyait le jour.
Je partirais, confiant vers cet amour.
Adieu a vous enfumées et gros cigares.
Fini, chaque soir la tournée des bars.
Faut il qu'a se point être fou a lier ?Pour se croire le fidèle cavalier.
Se prendre pour un moins que rien,
Mon corps se dérobe, je ne suis pas bien.
Je ne peux errer comme un vagabond,
Traîner de long en large sur ce pont.
Piétiner, puis repartir jusqu'à l’espoir,
D’un regard qui se croise pour y croire.
Que l’on marche l’un vers l’autre,
La lumière filtrante est notre.
Cœur a cœur, main dans la main.
Le futur doit commencer demain.
Une lourde et longue tache nous attends.
Prenons chacun nos responsabilités.
Ne perdons pas une minute de notre temps.
Ecartons, balayons nos personnalités.
Les pensées d’un rêveur
N° 091 écrit le 08-10-1966 par JGRC
Sous le pseudonyme de Christian Gilles
A Saint Jean les deux jumeaux 77660
17 commentaires -
Par 56 J-G-R-C 77 le 29 Janvier 2015 à 01:10
TROP TARD
Je me souviendrais toujours,
Du bonheur de notre amour.
Mais depuis je me suis perdu,
Dans l’espoir de l’attendue.
Tu as jouée avec tes principes,
Pour ne pas créer notre gîte.
Malgré tout cela, je t’aime.
Du plus profond de moi même.
Je rumine dans ma pauvre tête.
Qu’elle est éloignée, cette fête.
A la sortie de mon adolescence
Et croire, à ce mot, confiance.
Perdre ainsi toutes mes chances.
Vraiment, une totale insouciance
Que le temps estompe chaque jour,
Pour l’avenir d’un grand amour.
Les pensées d’un rêveur
N° 082 écrit le 27-05-1966 par JGRC
Sous le pseudonyme de Christian Gilles
A Saint Jean les deux jumeaux 77660
Modifié le 05-08-2004 a La Gacilly 56200
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Par 56 J-G-R-C 77 le 18 Février 2014 à 00:50
VOUS LES FILLES
Vous les filles, toutes les mêmes,Il suffit de vous dire, je t’aime.
Pour le croire sans aucune façons,
Méfiez vous de votre premier garçon.
Il faut jouer avec d’autres manières.
Nous aussi, nous avons des problèmes.
Rien ne sert de critiquer la bière,
Humilité et calme, garder votre flegme.
Pas besoin d’environnement humide,
Vous n’êtes pas des plus timides.
Oublier donc les vieux principes,
Nous ne sommes pas des sales types.
Vous croyez ce que l’on vous dit,
Mais les étoiles n’ont rien prédit.
Alors, cheveux courts cheveux longs,
Suivez le chemin ou nous allons.
Les pensées d’un rêveur
N° 080 écrit le 15-05-1966 par JGRC
Sous le pseudonyme de Christian Gilles
A Saint Jean les deux jumeaux 77660
modifié le 13-08-2004 a La Gacilly 56200
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Par 56 J-G-R-C 77 le 17 Décembre 2013 à 00:40
ELLE, TOUJOURS ELLEC’est la fin des beaux jours,
Ainsi que de notre amour.
Je ne sais où est mon avenir,
Loin de nos fabuleux souvenirs.
Elle ne veut plus sortir,
Quand va-t-elle partir ?
Ne serait elle pas décider,
Impossible de l’aborder.
Dites lui que je l’aime.
Je ne suis plus le même.
Qu’elle vienne a sept heures.
Comme pendant notre bonheur.
Elle répond, par le silence,
Finie notre bonne entente.
Elle est d’une méfiance,
Et d’une grande indifférence.
Les pensées d’un rêveur
N ° 070 écrit le 05-03-1966 par JGRC
Sous le pseudonyme de Christian Gilles
A Saint Jean les deux jumeaux 77660
Modifié le 26-11-2008 a LA GACILLY 56200
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Par 56 J-G-R-C 77 le 5 Novembre 2013 à 03:27
JE NE PEUX FAIRE
MARCHE ARRIERE
Je me souviens du premier regard,
Je pensais ne pas être en retard.
Combien de sourire, avons-nous croisés ?
Avant qu’un obstacle ne vienne tout brisé.
Un mal me pris, la honte de la peur.
De ne pouvoir aimer de tout coeur.
Le jour ou tu as refusé mon invitation.
Depuis je te relance, tu es ma tentation.
Le temps des filles sérieuses est rare,
Cela me rends du genre bizarre.
Tu me trouves étrange et amer.
Malgré moi, je ne me sens pas fière.
Restes comme tu es, c’est mon souhait.
Toi l’égérie qui me fascine et me plait.
Ma tête chauffe en ne pensant qu’as toi.
La tienne est des plus froide, devant moi.
Les pensées d’un rêveur
N° 088 écrit le 08-10-1966 par JGRC
Sous le pseudonyme de Christian Gilles
A Saint Jean les deux jumeaux 77660
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Par 56 J-G-R-C 77 le 4 Septembre 2013 à 03:55
DEUX FOIS, MAIS PAS TROIS
Il n’est jamais trop tard,
Je nr suis pas un bâtard.
Je ne peux cacher mon amour,
Tout aux longs des jours.
Laisse moi, jouer ma chance,
Avant de partir en décadence.
Je ne dors point, dans mes nuits,
Ce n’est que film de mes ennuis.
Pitié pour mon espoir d’amour,
Je ne vois que noir dès le jour.
Excuse mon obstination, pardonne.
Je ne vie, pense et aime ta personne.
Même s’il faut pour cela mal finir.
Rien ne vous autorise à me retenir,
Le destin me guidera s’il n’y a amour,
La tragédie, vers l’au delà, humour.
Jour ou nuit, je vois que ton effigie.Cela n’a rien d’un spectacle de magie,
Bien moins de vouloir jouer le fanfaron.
En moi, rien ne tourne vraiment rond.
Pour qu’elles raisons, sortir le soir ?
Je ne recherche que la solitude.
Tout cela a fin de pouvoir y croire.
A moi de prendre la bonne attitude.
Pourquoi te remettre en évidence ?Tu ne fais que relancer la balance.
L’adrénaline remonte en moi ;
Des pensées folles, convergent vers moi.
Ensemble nous avons découvert l’amour,Qui devait, devait durer pour toujours.
Mais la vie a deux, c’est autre chose.
Il ne suffit pas de jouer de la prose.
Tu as réussi a réveillé mon obstination.
Plus grande est devenue ma tentation.
Mais je me retiens de te dire je t’aime.
Je ne sais comment aborder le problème.
Je suis avec la peur, ventre compressé.
Je me dis attend, ne sois pas si pressé.
Le présent s’apprécie que s’il est mure.
Patience, attendons pour qu’il dure.
Les pensées d’un rêveur
N° 092 écrit le 08-10-1966 par JGRC
Sous le pseudonyme de Christian Gilles
A Saint Jean les deux jumeaux 77660
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Par 56 J-G-R-C 77 le 26 Août 2013 à 03:24
- REDIFFUSION OVER - BLOG
DU 06 AOUT 2010
AU FIL DES SAISONS
RESTONS DANS CETTE BELLE PERIODE
DES JOURS LES PLUS LONGS
OÙ LES HABITANTS PARTENT EN EXODE
LE SOLEIL AUX MILLE RAYONS
PUIS LES FEUILLES MORTES
QUE LE SOUFLE DU VENT EXPORTE
LE TEMPS DES VENDANGES
SOUS UN SOLEIL ORANGE
PUIS LES PREMIERS FRIMAS
LA COUVERTURE SUR LE DRAP
PREMIERE TOMBEE DE NEIGE
LE VERGLAS ET SES PIEGES
ET LE CYCLE SE TERMINE
AVEC LA ROSEE DU PRINTEMPS
PLUIE EN AVERSE QUI LAMINE
C'EST LA VIE DES SAISONS SUR UN AN
Les pensées d’un rêveur.
N°170 écrit le 16 Juillet 2010
Sous le Pseudonyme de Christian Gilles
Par J.G.R.C à LA GACILLY 56200
Pour le blog de PROSE DE MARIE
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