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    A L’ABRI


     

     

    Un temps de saison chaud et sec,

    Sévit et Décime dans la région,

    Tout les tristes et  pauvres mecs,

    Ainsi que les balauds et couillons.


     

    Dans un coin les tourtereaux,

    S’embrassent dans le cou.

    Pendant que les passereaux,

    Eux, s’échangent leurs poux.

     

    Couples furtifs et craintifs,

    Amoureux ils se bécottent.

    De bouche touche pif a pif,

    Autre monde entre deux portes.

     
     

    Passion de rêve terminée,

    Chacun du regard se sépare.

    Ne serait ce que feu sans fumée

     Où une rencontre du hasard. 

     

    Les pensées d’un rêveur.

    N° 003 Ecrit le 06/03/1961 par J G R C

     Sous le pseudonyme de  Christian Gilles

    A REIMS 51

    Modifié le 26.01.2009 a LA  GACILLY


    Classement de sites Letout, concours gratuit

     

    20h17

     


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    C’était il y a un an



    iL FAUT CACHER. 2/3

     

     

    Il faut beaucoup de discrétion,

    Pour ma grande affection.

    Il faut avoir un gros cœur.

    Dans mon triste malheur.

     

    A quoi bon, je ne peux regretter

    Le reste de mon existence.

    De t’avoir brusquement quitté,

    Dans un sinistre silence.

     

    Il faut que je pardonne,

    A l’être  que j’aime.

    Il ne faut que personne,

    Ne connaisse mon problème.

     

    Mais aussi  près du rivage,

    Je coule, c’est le naufrage.

    Adieu, mon tendre visage,

    Délestée de tout maquillage.

     

    Les pensées d’un rêveur

    N ° 067  écrit le 02-03-1966 par JGRC

     Sous le pseudonyme de Christian Gilles

     A Saint Jean les deux jumeaux  77660

    Modifié le 10.12..2008 a LA GACILLY

    19h16

     





     


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    C’était il y a un an






    IL FAUT CACHER. 1/3

    Mon entourage, me dit courage.

    Qu’il me faut tout changer,

    Prends ton bâton, et voyage,

    Visite donc les pays étrangers.

     

    Et oui, il faut que j’oublie,

    Le passé de tous mes ennuis.

    Il faut que je renonce,

    A attendre, cette réponse.

     

    Je ne peux pas nuire,

    A la sortie des copains.

    A moi d’en déduire,

    Il faut gagner mon pain.

     

    Et pourtant ; il faut vivre,

    Sans notre histoire d’amour

    Il vaut mieux en rire,

    A l’infini des jours. 

     

    Les pensées d’un rêveur

    N ° 067  écrit le 02-03-1966 par JGRC

     Sous le pseudonyme de Christian Gilles

     A Saint Jean les deux jumeaux  77660

    Modifié le 10.12..2008 a LA GACILLY





    19h21


     

     


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    Bonne soirée

     

    et

     

    Bonne nuit

     

    21h34


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    REPONSE


     

    Suspense, regard tiré

    Sur la lettre arrivée.

    Un cœur accéléré ;

    Une joie suractivée.

     


    Qui m’écrit se pli ?

    Une réponse attendue,

    Alors, j’ouvre, je déplie

    L’ami ma défendu.


     coeur_020.gif


    Les traits tendus,

    Je lis, puis relis,

    Et mon cœur cri,

    Bien lu, bien entendu.


     


    Elle est revenue vers moi.

    Rendez vous chez elle.

    Mes sens sont aux abois,

    Par la réponse de ma belle.

     

     

     

     

      Les pensées d’un rêveur. 
      N°08  Ecrit  le  08 Avril 1961    Par J G R C  
       a   REIMS   51   
      Sous  le pseudonyme de    Christian  Gilles  
      Texte modifié  le 05.08.2009 a  LA GACILLY 

     


    19h13


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    COULEURS



    Mon dernier jour de vacance,

    Demain, adieu coin de Provence.

    Finies découvertes instructives,

    Dans une animation super  active.



     

    Parcelles éparpillées de vignoble,

    Aux mille champs d’oliviers noble.

    Du vin rouge rosé blanc gouleyant,

    Avec consommation a bon escient.



     

    Sans modération avec les olives,

    Sous le soleil, reste passives.

    En attendant de vert ou noir vêtue,

    Finir dans l’assiette lors d’un menu.

     



    Ne point oublier cette vierge  huile,

    Accompagnement d’un filet fluide,

    Saveur d’un terroir, d’une région,

    Avec l’O M pour toute religion.


     

    Les pensées d’un reveur.

    N° 169 écrit  le 1er  MAI  2009 par J.G.R.C
     Sous le pseudonyme   de   Christian Gilles 

    A la ROQUE SUR PERNES 84210




    18h56


    photo flickr 


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    PSEUDONYME


     

    Si, j’ais choisi un pseudonyme,

    C’est que je t’aime toujours.

    Tu as été mon dernier amour,

    Pour moi, tu es mon hymne.

     

    Comme prénom, j’ais pris le masculin,

    Pour le nom, la première du tien.

    Maintenant, je ne fais plus de manière,

    Car pour moi, tu as été la dernière.

     

    Les filles pour moi, c’est fini à jamais,

    Toi, tu es la seule que j’aimais.

    Plus personne ne m’intéresse,

    Il n’y aura plus de tendresse.

     

    Plus rien ne peut me consoler,

    Depuis ce soir, ou je t’ais quitté.

    Pourquoi, toujours t’appeler?

    Il est trop tard pour regretter

     


    photo flickr 


     

    Les pensées d’un rêveur.
    N°62     Ecrit  le  01 Mars 1966       Par J G R C   
    a   SAINT JEAN  LES DEUX JUMEAUX  77660
    Sous  le pseudonyme de    Christian  Gilles 
    Texte modifié  le 20.07.2009   a LA GACILLY


    19h20

    C'était le

             Mercredi 05 Aout 2009      


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