Par 56 J-G-R-C 77
JE NE PEUX FAIRE
MARCHE ARRIERE
Je me souviens du premier regard,
Je pensais ne pas être en retard.
Combien de sourire, avons-nous croisés ?
Avant qu’un obstacle ne vienne tout brisé.
Un mal me pris, la honte de la peur.
De ne pouvoir aimer de tout coeur.
Le jour ou tu as refusé mon invitation.
Depuis je te relance, tu es ma tentation.
Le temps des filles sérieuses est rare,
Cela me rends du genre bizarre.
Tu me trouves étrange et amer.
Malgré moi, je ne me sens pas fière.
Restes comme tu es, c’est mon souhait.
Toi l’égérie qui me fascine et me plait.
Ma tête chauffe en ne pensant qu’as toi.
La tienne est des plus froide, devant moi.
Les pensées d’un rêveur
N° 088 écrit le 08-10-1966 par JGRC
Sous le pseudonyme de Christian Gilles
A Saint Jean les deux jumeaux 77660
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