Par 56 J-G-R-C 77
TROP TARD
Je me souviendrais toujours,
Du bonheur de notre amour.
Mais depuis je me suis perdu,
Dans l’espoir de l’attendue.
Tu as jouée avec tes principes,
Pour ne pas créer notre gîte.
Malgré tout cela, je t’aime.
Du plus profond de moi même.
Je rumine dans ma pauvre tête.
Qu’elle est éloignée, cette fête.
A la sortie de mon adolescence
Et croire, à ce mot, confiance.
Perdre ainsi toutes mes chances.
Vraiment, une totale insouciance
Que le temps estompe chaque jour,
Pour l’avenir d’un grand amour.
Les pensées d’un rêveur
N° 082
écrit le 27-05-1966 par JGRC
Sous le pseudonyme de Christian Gilles
A Saint Jean les deux jumeaux 77660
Modifié
le 05-08-2004 a La Gacilly 56200
16h00
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