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" Les hommes coléreux
se font à eux-mêmes
un lit d'orties. "
RICHARDSON Samuel" Deux choses
Ne se peuvent cacher :
L’ivresse et l'amour. "
Antiphane" Le plus grand arbre
Est né d'une graine menue ;
Une tour de neuf étages
Est partie d'une poignée de terre."
LAO – TSEU
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Une chatte à son amie.
-Mais dis donc,t'es enceinte?
C'est de qui?
-J'sais pas,j'avais la tête dans la poubelle.
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Un client
Dans un magasin d’animaux.
-Je voudrais 11 rats,3 couleuvres et 12 araignées.
-Vous ouvrez un magasin ou quoi.
-Non, je déménageEt le propriétaire m'a demandé
De laisser l'appartement
Dans l'état où je l'ai trouvé.
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Deux puces
À la sortie d'un cinéma.
-On marcheOu on prend un chien?
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Réflexion
de la semaine
Un humanisme bien ordonné
Ne commence pas
Par soit même,
Mais place le monde
Avant la vie,
La vie avant l’homme,
Le respect des autres êtres
Avant l’amour propre.
Claude LEVI STRAUSS
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" La jeunesse
A cela de beau
Qu’elle peut admirer
Sans comprendre"
Anatole France
Le meilleur moyen
pour apprendre
à se connaître,
c'est de chercher
à comprendre autrui.
Gide André" Un sot trouve toujours
un plus sot qui l'admire. "
BOLLEAU Nicolas
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le 5 Janvier 2013
Message d'amitié
En cette nouvelle année
Qui commence...
Je pense à vous aujourd'hui
Comme je pense à vous
Tous les jours chers amis...
Bonne année
Et meilleurs voeux de bonheur...
PROVERBES
CREOLE - FRANÇAIS
Acté van
Pou vann lè.
« Acheter du vent
Pour vendre de l’air.»
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Échanger un cheval borgne
Contre un cheval boiteux.
PROVERBES
CREOLE - FRANÇAIS
Anant dé moun séryé ,
Pawol sé papyé tenbré.
Entre deux personnes sérieuses,
La parole est contrat
de confiance.
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*POEME D’HIER
Geneviève de SAINTOGE
1650 – 1718
CONTE
Un jeune cavalier, plus vif qu’on ne peut croire,
Fait pour les jeux, et les ris,
Fourni de bonnes dents - cela sert à l’histoire –
Etait un jour près de Chloris.
Il lui dit d’un air agréable
Qu’elle est une dame à manger,
Qu’en la mordant du moins il veut se soulager.
Votre mâchoire est redoutable,
Dit elle, pour d’autres que moi,
Je suis trop ferme et trop dodue
Pour être pincée ou mordue :
Malgré vous et vos dents je ne sens nul effroi.
A ce défi de la belle,
Il se jette à ses pieds et, se penchant sur elle,
Il mord à travers sa jupe de velours.
Contre de telles dents il n’est aucun secours :
Elle en ressent une atteinte cruelle,
Elle crie, elle est en courroux.
A notre cavalier ses cris paraissent doux :
Je, dit il, naître son espérance,
Je vois que l’on n’a pas toujours la fermeté
Dont on s’était vanté ;
Je pourrai mordre un jour sur votre indéfférence.
Diffusion François Beauval
1ér trimestre 1975
J G R C
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