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    Réflexion

    de la semaine

     

     

     

     

     

     

     

    L’amour rend fou,

     

    Il n’y a que la guerre

     

    Qui Rambo.

     

     

    COLUCHE 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • CITATIONS    17/01/2015


     

     

     

    L'homme

    Est son

    Plus grand ennemi.

     

     

     

     

     

     

     

    Qui le sien

    Donne avant

    De mourir,
    Bientôt s'apprête

    À moult souffrir.

     

     

     

     

     

    Qui écoute

     Aux portes,

     Entendra

     Mal parler

    Sur son compte.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Quand le paysan

     

    Est enrichi,


    Il n'a ni parent

     

     Ni ami.

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'eau

     La plus claire

    Peut faire

    De la boue.

     

     

     

     


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    On adore

     

    Plutôt

     

    Le soleil levant

     

    Que le soleil

     

    Couchant. 

     

    Proverbe  Français 

     

     

     

     

     

     

    Ne remet pas

     

    A demain

     

    Ce que tu peux

     

    Faire le jour même.

     

                       Proverbe  Français 



     

     

     

     

    Des soupes

     

    Et des amours

     

    Les premières

     

    Sont les

     

    meilleures.

     

     

    Proverbe  Français 

     

     

     

     


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    *POÈME D’hier

     

    MAURICE SCÈVE

    1501 - 1560

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    DEUX

    GALANTERIES

    ANONYMES

    Du XVIe siècle

     

     

     

     

     

    Il était une fillette

    Qui voulait savoir le jeu de l’amour,

    Un jour qu’elle était seulette

    Je lui en appris deux ou trois tours.

     

    Après avoir senti le goût

    Elle me dit en souriant :

    Le premier coup me semble lourd,

    Mais la fin me semble friand.

     

    Je lui dis : vous me tentez.

    Elle me dit : recommencez.

    Je l’empoigne, je l’embrasse,

    Je la fringue fort.

     

    Elle crie : ne cessez,

    Je lui dis : vous me gâtez

    Laissez moi, petite garce,

    Vous avez grand tort.

     

    Mais quand ce vint à sentir le doux point

    Vous l’eussiez vue mouvoir si doucement

    Que son las cœur en tremble fort et poingt,

    Mais dieu merci ! C’était un doux tourment.

     

     

     

     

     

     

     

    Diffusion François Beauval

    1ér trimestre 1975

     

    J-G-R-C- 

     

     

     

    ********

    ******

    ****

    **

    *

     

     

     

     

     

    Baisez moi tot ou je vous baiserai,

    Approchez près, faites la belle bouche,

    Ôtez la main, que ce tétin je touche,

    Laissez cela, je vous l’arracherai

    Mon bien m’amour, tant je vous le ferai

    Si faut qu’un jour avecques vous je couche.

     

     

     

    Diffusion François Beauval

    1ér trimestre 1975

     

    J-G-R-C- 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Mieux vaut

     

    Un doigt coupé

     

    Qu’un doigt

     

    Pendant.

     



     



     

     

    Les eaux calmes

    Sont

    Les plus profondes.

     

     

     

     

     


    On ne donne

     Rien

     

     Pour rien.

     



     

     

     

     

    Ce qu'on donne

     Aux méchants,

    Toujours

    On le regrette.

     

     

     

     

     

     

    Il faut faire

     Vie

    Qui dure.

     



     



     

    A donner,

    Donner;

     Et à vendre,

    Vendre.

     

     

     

     

     


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    POEME D'HIER  12/01/2015

     

    POEME D'HIER  12/01/2015

     

     

     

     

    Victor HUGO  

     

     (1802-1885)



     

    Liberté !

     

     

     

    De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ?

    De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages,
    Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ?
    De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ?
    Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître
    L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ?
    Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ?
    Qu'est-ce qu'ils ont donc fait tous ces innocents-là
    Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ?

    Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ?
    Qui sait si le verdier qu'on dérobe aux rameaux,
    Qui sait si le malheur qu'on fait aux animaux
    Et si la servitude inutile des bêtes
    Ne se résolvent pas en Nérons sur nos têtes ?
    Qui sait si le carcan ne sort pas des licous ?
    Oh! de nos actions qui sait les contre-coups,
    Et quels noirs croisements ont au fond du mystère
    Tant de choses qu'on fait en riant sur la terre ?
    Quand vous cadenassez sous un réseau de fer
    Tous ces buveurs d'azur faits pour s'enivrer d'air,
    Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue,
    Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue,
    Croyez-vous que le bec sanglant des passereaux
    Ne touche pas à l'homme en heurtant ces barreaux ?

    Prenez garde à la sombre équité. Prenez garde !
    Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde.
    Ne comprenez-vous pas que vous êtes méchants ?
    À tous ces enfermés donnez la clef des champs !
    Aux champs les rossignols, aux champs les hirondelles ;
    Les âmes expieront tout ce qu'on fait aux ailes.
    La balance invisible a deux plateaux obscurs.
    Prenez garde aux cachots dont vous ornez vos murs !
    Du treillage aux fils d'or naissent les noires grilles ;
    La volière sinistre est mère des bastilles.
    Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux !
    Toute la liberté qu'on prend à des oiseaux
    Le destin juste et dur la reprend à des hommes.
    Nous avons des tyrans parce que nous en sommes.
    Tu veux être libre, homme ? et de quel droit, ayant
    Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ?
    Ce qu'on croit sans défense est défendu par l'ombre. 
    Toute l'immensité sur ce pauvre oiseau sombre
    Se penche, et te dévoue à l'expiation.
    Je t'admire, oppresseur, criant: oppression !
    Le sort te tient pendant que ta démence brave
    Ce forçat qui sur toi jette une ombre d'esclave
    Et la cage qui pend au seuil de ta maison
    Vit, chante, et fait sortir de terre la prison.

     

     

    ORIGINE

     

    http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/victor_hugo/liberte.html

     

     

    POEME D'HIER  12/01/2015

     sans oublier LES anonymes

    POEME D'HIER  12/01/2015

     

     

     

    POEME D'HIER  12/01/2015

     

     


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    VACANCES VIC LA GARDIOLE 09/2009    09/01/2015 

    LES NEWS 

     

     

     

     

     

     

     

    Réflexion

    de la

    semaine

     

     

     

     

     

     

     

    Le bonheur

     

    C’est être heureux ! 

     

    Ce n’est pas

     

    De faire croire 

     

    Aux autres qu’on l’est. 

     

     

     

    Jules RENARD 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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