La jeune dame qui marche sur la pelouse
Devant l’été paré de pommes et d’appas,
Quand des heures Midi comblé jette les douze,
Dans cette plénitude arrêtant ses beaux pas,
A dit un jour, tragique abandonnée - épouse -
A la Mort séduisant son Poëte : “Trépas !
Tu mens. Ô vain climat nul ! je me sais jalouse
Du faux Éden que, triste, il n’habitera pas.”
Voilà pourquoi les fleurs profondes de la terre
L’aiment avec silence et savoir et mystère,
Tandis que dans leur coeur songe le pur pollen :
Et lui, lorsque la brise, ivre de ces délices,
Suspend encore un nom qui ravit les calices,
A voix faible, parfois, appelle bas : Ellen !
Stéphane Mallarmé
Je crois que tu n'as pas brillé par ton absence sur la route du tour, peut être y as-tu croisé notre ami Michel, pas sur le vélo, car comme pour le foot il préfère regarder, je crois que le sport le plus violent qu'il pratique c'est la pétanque, il sert les verres de pastis, lol! chut! ne dis pas que je te l'ai dit, c'est un secret qu'on partage avec polichinel, lol!
bonne journée
amicalement
Claude