• GRATIN DE



    BROCOLIS



    A L'EMMENTAL





    Temps de préparation: 15 minutes

    Cuisson: 25 minutes





    Pour: 04 personnes



    -800g brocolis .



    -200 g emmental rapé.



    -20 cl crème fraiche épaisse.



    -40 g de beurre.



    -noix de muscade une pincée.



    -sel & poivre .







    -Préchauffez le four



    à thermostat 8 (240°C).



    -Divisez les brocolis



    en petits bouquets.



    Rincez les,



    puis faites les cuire



    à l'eau bouillante



    salée pendant



    ou au cuit vapeur



    pendant vingt minutes.



    Egouttez



    les soigneusement.



    -Dans un bol,



    mélangez à l'aide



    d'une fourchette



    la crème fraiche



    et les 2/3 du



    fromage rapé



    et la noix de

     

    muscade rapée.



    Salez & poivrez

    a votre convenance.



    -Beurrez généreusement

    4 petits plats à gratin

    et répartissez y

    les petits

    bouquets de brocolis.



    Versez la crème

     

    au fromage au dessus



    et saupoudrez



    la surface avec



    le fromage rapé restant.



    -Enfournez pendant



    quinze minutes.



    La surface doit etre



    bien dorée et gratinée.







    SERVEZ CHAUD



    DANS LES PLATS



    DE CUISSON.





     














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  •  

     

    Emile Zola

    T
    1




    Quand on est mort…


    écoutez ça…


    quand on est mort,


    c'est pour longtemps.

    Emile ZOLA

     

     

     

     

    2

     

     

    Chaque fois

    que la science

    avance d'un pas,

    c'est qu'un imbécile

    la pousse,

    sans faire exprès.

     

    Emile ZOLA

     

     

     

     

     

     

     

     

    3

     

     

     

     

     

     

    Quand l'argent

    empoisonne la mort,

    il ne sort

    de la mort

    que de la colère.

     

    On se bat

    sur les cercueils.

     

    Emile ZOLA

     

     

     

     

     

     

     

     

    4

     

     

     

     

     

    Alors, Nana,
    tout de suite,
    entama La Faloise.


    Il postulait
    depuis longtemps
    l'honneur d'être
    ruiné par elle,
    afin d'être
    PARFAITEMENT chic.

     

    Emile ZOLA

     

     

     

     

     

     

     

     

    5

     

     

     

     

    On a beau n'être

    pas envieux,

    on rage toujours

    quand les autres

    chaussent

    vos souliers

    et vous écrasent.

     

    Emile ZOLA

     

     

     

     

     

     

     

     

    6

     

     

     

     

    J'aime les ragoûts

    LITTERAIRE

    fortement épicés,

    les oeuvres

    de dédacence

    où une sorte de SENSIBILITE maladive remplace la santé PLANTUREUSE des époques classiques.

    Je suis de mon âge.

     

    Emile ZOLA

     

     

     

     

     

     

     

     

    7

     

     

     

     

     

    Les miracles

    vous paraissent impossibles.

     

    Qu'en savez-vous ?

     

    Dites-vous donc

    que vous

    ne savez rien,

    et que l'impossible,

    selon nos sens,

    se réalise

    à chaque minute...

    Emile ZOLA

     

     

     

     

     

     

     

     

    8

     

     

     

     

    C'était fini,

    la bête mauvaise,

    accroupie dans

    ce creux, gorgée

    de chair humaine,

    ne soufflait plus

    de son haleine

    grosse et longue.

     

    Emile ZOLA

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    *POEME D’hier

     

    DORAT

    1734 - 1780

     

     

     

     

     

    LES BAISERS :

    LA FAUSSE PUDEUR

     

     

     

     

     

    Pourqui donc, matrones austères,

    Vous alarmez de mes accents ?

    Vous, jeunes filles trop sévères,

    Pourquoi redoutez vous mes chants ?

    Ai-je peint les enlèvements,

    Des passions les noirs orages

    Qui naissent aux cœurs des amants ?

    Le célèbre des jeux  paisibles,

    Qu’en vain on semble mépriser,

    Les vrais biens des âmes sensibles,

    Le doux mystère du baiser.

    Ma plume rapide et naive

    Ecrit ce qu’on sent en aimant :

    L’image n’est jamais lascive,

    Quand elle exprime en sentiment.

    Mais, quelle rougeur imprévue !

    Quoi ! Vos blâmez ces doux loisirs,

    Et n’osez reposer la vue

    Sur le tableau de nos plaisirs !...

     

    Profanes, que l’amour offense,

    Qu’effarouche la volupté,

    La pudeur a sa fausseté,

    Et le baiser son innocence.

    Ah ! Fuyez, fuyez loin de nous ;

    N’approchez point de ma maîtresse :

    Dans ses bras, Thaïs me presse.

    Et, par les transports les plus doux,

    Me communique son ivresse,

    Thais est plus chaste que vous.

    Ce zèle, ou votre cœur se livre,

    N’est que le masque du moment :

    Ce que vous fuyez dans un livre,

    Vous le cherchez dans un amant.

     

     

     

     

     

    Diffusion François Beauval

    1ér trimestre 1975

     

    J G R C

     

     

     

     

     

     

     D  18-02-2012


    31 commentaires



  • *SOUPE 
    ÉPICÉE 
    A LA NOIX DE COCO
    ÎLE MAURICE



     

    Temps de préparation: 10mn
    pour 4 personnes

    Cuisson 15mn



    -
    150g de chair de noix coco fraîche ou séchée.

    -                     1 gros oignon.

    -                     25cl de bouillon de poulet.

    -                     25cl de lait de noix de coco.

    -                     25 cl de crème fraîche.

    -                     60g de beurre.

    -                     2 cuil. A soupe de curry.

    -                     Sel et poivre.




    A) coupez la chair

    de la noix de coco en lamelles

    "vous pouvez utiliser 

    la noix de coco râpée.



    B) faites chauffer le beurre a feu doux

    et faites revenir doucement l’oignon émincé,

    -                      sans le laisser prendre couleur.

     

     

                         C) incorporez la poudre de curry

                          et laissez cuire

                              pendant 3 minutes environ

    -                      sans cesser de remuer.

     

     

    -                     D) ajoutez ensuite le bouillon,

    -                     Le lait de coco, la crème fraîche,

    -                     Salez et poivrez.


    E)  laissez cuire 5 minutes,

    -                      puis incorporez la chair de noix de coco,

    -                     et mixez de façon à obtenir un mélange lisse.

     

    -                    F) mettre au réfrigérateur

     pendant 2 heures avant de servir.

     

    Bon Appétit





     

    D  09/11/2011

     

     


    12 commentaires
  •  

     

    Alfred de MUSSET

     

     

    # 1 #

     

     

    Tout m'ennuie.





    M'aimes-tu encore?





    Il n'y a que toi



    qui aies du cœur.



    Pas de lettre.



    Oui ou non.



    Alfred de Musset

     

     







    # 2 #













    Je ne sais plus



    si je vis,



    si je mange,



    si je respire,



    si je parle;



    je sais que je t'aime.



    Alfred de Musset























    # 3 #





    Je crois



    qu'une sottise



    est au bout



    de ma plume.



    Alfred de Musset









    # 4 #





    On dit

    qu'il n'y a rien

    de si rapide

    qu'un sentiment

    d'antipathie !





    Mais je crois

    qu'on devine

    plus vite encore

    qu'on se comprend

    et qu'on va s'aimer.



    Alfred de Musset









    # 5 #





    Si jadis,

    on s'était jeté

    dans le paradis chrétien,

    cela venait de

    ce qu'il s'ouvrait

    alors comme

    la jeune espérance.

     

    Une religion nouvelle!

     

    Alfred de Musset





     

    # 6 #





    Je suis perdu,

    vois-tu,

    je suis noyé,

    inondé d'amour!









    # 7 #

















    Son cœur



    est un logis



    qui n'a pas d'escalier.



    Alfred de Musset









    # 8 #





    Emmeline

    avait mis

    cinq ans à s’apercevoir

    que son premier

    choix ne pouvait

    la rendre

    heureuse ;



    elle en avait

    souffert pendant

    un an ;



    elle avait lutté

    six mois contre

    une passion naissante,

    deux mois contre

    un amour avoué ;



    elle avait

    enfin succombé,

    et son bonheur

    dura quinze jours.

     

     Alfred de Musset










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  •  

    ^01^

     

     

     

    DIVERS

     

     

     

    Un vieil homme

     

    est au plus mal.

     

    Son petit fils

     

    est à son chevet.

     

    Soudain,

     

    une délicieuse

     

    odeur de tarte

     

    aux pommes lui

     

    viens aux narines.

     

    -Veux-tu aller m'en

     

    chercher un morceau?

     

    Le petit revient:

     

    -Maman a dit

     

    que la tarte

     

    c'était pour

     

    après l'enterrement...

     

     

     

     

    ^02^

     

     

     

    DIVERS

     

     

    Un touriste

     

    vient de passer

     

    ses vacances

     

    en FRANCE.

     

    A son retour

     

    il rencontre

     

    un vieux copain:

     

    -Alors,

     

    c'est beau

     

    la FRANCE?

     

    -Je ne sais pas.

     

    Je n'ai pas

     

    encore développé

     

    mes photos!

     

     

     

     

     

     

    ^03^

     

     

     

    DIVERS

     

     

    -Le voisin

     

    du troisième

     

    commence à

     

    disjoncter

     

    avec le confinement,

     

    je l'ai vu

     

    parler à son chien...

     

    -Je vais raconter ça

     

    à mon aspirateur,

     

    il va etre

     

    mort de rire!

     

     

     

     

    ^04^

     

     

     

    DIVERS

     

     

     

    Pierrot!

     

    On est sur terre

    pour travailler!

     

    Alors tu vas

    te mettre au boulot!

     

    Bah,

    moi plus tard,

    je serai aviateur!

     

     

     

     

    ^05^

     

     

     

    DIVERS

     

     

     

    A la station service.

     

    Sur une pancarte,

     

    un client voit écrit:

     

    «Mettez un tigre

     

    dans votre moteur!»

     

    Il s'adresse

     

    au pompiste:

     

    D'accord,

     

    mais c'est pas

     

    un peu dangereux?

     

     

     

     

     

    ^6^

     

     

    DIVERS

     

     

    Un morceau de sucre

     

    tombe fou amoureux

     

    d'une petite cuillère.

     

    Il lui propose

     

    un rendez vous.

     

    Sous le charme,

     

    la petite

     

    cuillère répond:

     

    -Avec plaisir!

     

    Ou veux tu

     

    qu'on se retrouve?

     

    -Dans un café.

     

     

     

     

     

    ^07^

     

     

    DIVERS

     

     

     

    Dans le bus,

    Toto est assis

    à coté d'une

    vieille dame.

     

    Enrhumé,

    il n'arrete pas

    de renifler.

     

    Agacée,

    la vieille dame

    finit par lui dire:

     

    -Dis-moi mon petit,

    tu n'as pas

    de mouchoir?

     

     

     

     

    -Si, mais

    je ne le prète pas!

     

     

     

     

     

    ^08^

     

     

    DIVERS

     

     

    A l'époque

    du Far West,

    un éclaireur revient

    de patroiulle en ayant

    tout juste la force

    de dire à son capitaine:

     

    -Nous sommes cernés!

     

    -Qu'est ce qui vous

    permet de l'affirmer?

     

    -Regardez, capitaine,

    j'ai une flèche

    dans la poitrine,

    une dans le bras droit,

    une autre

    dans le bras gauche

    et une autre

    dans le derrière.

     

     

     

     

     

     

     


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  •  

     

     

    *POEME D’hier

     

    HELENE VACARESCO

    1866 – 1947

     

     

     

     

     

     

    IL PASSA

     

     

     

     

    Il passa ! J’aurai du sans doute

    Ne point paraître en son chemin ;

    Mais ma maison est sur sa route,

    Et j’avais des fleurs dans la main.

     

     

    Il parla : j’aurai du peut être

    Ne point m’enivrer de sa voix ;

    Mais l’aube emplissait ma fenêtre,

    Il faisait avril dans les bois.

     

     

    Il m’aima : j’aurai du sans doute

    N’avoir pas l’amour aussi prompt ;

    Mais, hélas ! Quand le cœur écoute,

    C’est toujours le cœur qui répond.

     

     

    Il partit : je devrais peut être

    Ne plus l’attendre et le vouloir ;

    Mais demain l’avril va paraître,

    Et, sans lui, le ciel sera noir.

     

     

     

     

    Diffusion François Beauval

    1ér trimestre 1975

     

    Collection personnelle
    J-G-R-C

     

     

     

     D  28-12-2012


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